- Préambule :
Ca y est, tu es à mi croissance, le monde s’effondre autours de toi, tu es un ado dépressif, et tu as sûrement plein de bonnes raisons pour mettre fin à tes jours :
*La boisson énergisante que tu consommais vient d’être retirée des ventes
*Ton/ta copain/copine t’as quitté
*Tes parents sont des gens totalement has-been, ils refusent que tu te drogues, que tu boives des mélanges alcoolisés ou carrément t’empêche de sortir le soir après 2 heures (et ça c’est vraiment dégueulasse !)
Les raisons possibles pour entraîner une mort prématurée chez les jeunes « que-personne-ne-comprend-parce-qu’il-ont-vraiment-de-la-souffrance-et-nous-on-vit-dans-bisous-land ». Mais attention, jeune émo-émophile. Toi qui cherche un moyen de te tuer, bah par tes mains. Du plus traditionnel au plus original, ton suicide est possible. Et quand bien même, après la lecture de ce tutoriel, tu seras tellement ébloui que le suicide te semblera être la seule mort viable !
I) La méthode
Entrons directement dans le vif du sujet, il y a plusieurs façon de nous rendre service, heu… je veux dire de « mettre fin à tes jours vu que tu souffres trop et que nous on comprend rien ».
Alors, ces moyens quels sont ils ?
- La pendaison : Très classique, le matériel est également simple à trouver, la pendaison est un bon moyen de mettre fin à ses jours (permet aussi de bander, si vous êtes un homme !).
Il vous faudra pour cela une corde, une chaîne, du fil de pêche. Ou tout autre objet permettant de faire des noeuds et se le mettre autours du coup ensuite.
Ensuite, pensez à prendre un support pour vos pieds, quel qu’il soit, tabouret ou chaise (classique) voire même siège de toilette ou siège de balançoire, tout est bon !
Pour se pendre c’est simple, tout d’abord formez un nœud coulant avec votre corde (ou autre !), avec des gestes délicats mais plein de fermetés. Ensuite attachez l’autre extrémité de votre objet assez haut pour que vous ne touchiez plus le sol (branche, poutre apparente…). Monter sur votre objet n°2, mettez l’objet n°1 autour de votre cou souffrant. Et puis sautez de l’objet n°2.
Techniquement vos cervicales vont rapidement lâcher ou vous finirez étouffé ce qui provoquera votre décès tant désiré !
- La chute mortelle : On reste dans le domaine du rapide, simple et économique. Il faut faire attention avec cette méthode, vous pouvez finir seulement gravement handicapé !
Le matériel est inexistant, enfin si il vous faut des jambes (cul de jatte s’abstenir !) et un point de saut assez haut pour être sûr de mourir et pas seulement se casser le fémur.
Le principe est simple : vous courez, vous sautez, ce qui entraîne votre mort prématurée.
- La scarification : Méthode très populaire auprès des « grands dépressifs » âgés de 10 à 16 ans (oui ils sont assez vieux pour avoir des raisons valables de mourir ! On ne rigole pas dans le fond !).
Pour se scarifier il vous faudra un objet tranchant, lame de rasoir, bout de métal récupéré d’une conserve de haricot vert, écran d’une console DS (…). Ensuite utilisé cet objet tranchant sur des points stratégiques de votre anatomie, comme votre avant bras ou votre cuisse. Du moins tout endroit où il y a des veines ou artères simples d’accès ! Vous verrez votre mort arrivée comme une belle amie écarlate et vous aurez le temps de maudire tous les acteurs qui ont fait que vous allez mettre fin à vos jours. Ou alors vous allez juste vous rendre compte de votre incroyable stupidité et maudire Gillet et ses lames ultras coupantes !
- L’immolation : A l’origine cette technique de suicide n’était pas faite pour « mettre fin à trop de souffrance » mais plutôt pour exprimer sa désapprobation envers quelque chose (comme en Inde, par exemple). Cette technique entraîne une grande souffrance (à ce qui paraît, enfin, mettez votre main dans des flammes, vous pourrez vérifier avant !).
Pour vous immoler il vous faudra un liquide fortement inflammable (essence à briquet, alcool à brûler, essence), un pinceau, de préférence un corps poilu et un allume-feu (briquet, allumette, Johnny…).
Badigeonnez vous généreusement du produit inflammable avec le pinceau, puis utilisé votre outil pour le dit suicide !
Des flammes c’est joli ! Avec un peu de chances vous tuerez d’autres gens grâce à un incendie que vous aurez provoqué par la même occasion !
- L’arme à feu : Un peu de technologie ne fait pas de mal ! Les techniques modernes sont bien pratiques pour mettre simplement et rapidement fin à ses jours.
Il vous faudra pour cela une arme à feu (un truc qui fait « pan » !). Il est très simple d’en trouver, pour plus d’aide demandez gentiment à un vigile dans une banque.
Pour vous tuer, il faut bien viser, il y a plusieurs zones mortelles, la tempe par exemple au même niveau que le front, ou bien tirez vers le haut de votre mâchoire, ou tout simplement.
votre cœur (si c’est un suicide d’amouuuuuur éternel brisé à 12 ans ! ).
Vous pouvez tuer quelques personnes avant, ce sera plus fun et vous aurez votre tête dans les JT !
- Le suicide auditif
Il vous faudra pour ce suicide une chaîne HIFI assez performante (ou un casque !), achetez la compil de Jutin Bieber ou encore Tokio Hotel, mettez à fond, écoutez. Le résultat devrait prendre effet en quelques secondes !
Si vous êtes fan de ces groupes, j’ai des doutes sur votre humanité, et on ne peut pas tuer la mort hein ?
- L’overdose : Ce suicide peut se produire alors que vous ne souhaitez pas spécialement mourir (et c’est ça qui est rigolo !).
Il y a plusieurs types d’overdose, nous verrons les principales :
-L’overdose de médicament, généralement mélangés avec quelconques substances alcoolisées, cet overdose vous permet de mourir dans un delirium intensif accompagné de maux de tête. De plus il rendra très heureux votre pharmacien, et le gérant du petit casino où vous aurez acheté vos bouteilles !
-L’overdose de produits contre indiqués à la consommation : au choix : javel, détergent, coca MCDO. A forte dose vous provoquerez une scission de vos organes vitaux et vous mourez, dans la souffrance (et le désespoir).
-L’overdose de vous-même : ce qui en générale est le facteur privilégié de votre mort prématurée.
Dans le prochain article, la partie II ou choisir son lieux de mort avec sagacité. (date de publication encore inconnue)
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